Découvrez pourquoi les prix des voitures d'occasion explosent !

Découvrez pourquoi les prix des voitures d’occasion explosent !

Depuis la crise de 2008 et la pandémie de Covid-19, le marché des voitures d’occasion en France a connu une croissance significative. Avec une augmentation de 20 % entre 2010 et 2020, ce secteur a atteint un record en 2021 avant de ralentir face à la flambée des prix.

Pourquoi cette hausse spectaculaire des prix ? Quels facteurs influencent ce marché en pleine mutation ? Découvrez les raisons derrière cette explosion tarifaire et les perspectives pour 2024 dans notre analyse détaillée !

Croissance fulgurante du marché de l’occasion

Depuis la crise financière de 2008 et la pandémie de Covid-19, le marché de l’occasion en France a connu une expansion remarquable. Les consommateurs se tournent vers les articles de seconde main, qu’il s’agisse de mode, de mobilier ou d’appareils numériques, pour préserver leur pouvoir d’achat tout en réduisant leur empreinte carbone.

Cette tendance a également touché le secteur automobile, où le marché des voitures d’occasion a vu une croissance significative. Cependant, après un pic en 2021, une hausse des prix a ralenti cette dynamique, influencée par divers facteurs économiques.

Facteurs influençant la hausse des prix

Depuis 2020, plusieurs éléments ont contribué à l’augmentation des prix des voitures d’occasion. La pénurie de voitures neuves, causée par des problèmes d’approvisionnement en semi-conducteurs et pièces détachées, a poussé les consommateurs vers le marché de l’occasion, augmentant ainsi la demande. Parallèlement, l’inflation a fait grimper les coûts d’entretien et de réparation, impactant les prix.

Les normes environnementales ont également joué un rôle, incitant les constructeurs à se concentrer sur les véhicules électriques, souvent plus coûteux. Enfin, l’amélioration de la qualité des voitures et le changement des préférences des consommateurs ont accentué cette tendance.

Vers un avenir plus stable pour le marché de l’occasion

En 2024, le marché des voitures d’occasion pourrait bénéficier d’une baisse des tarifs, amorcée par la reprise économique de 2023. L’arrivée de nouveaux modèles électriques, comme la Renault 5 et la Peugeot e-5008, devrait dynamiser le secteur. Cependant, le durcissement du bonus écologique, prenant en compte l’empreinte carbone, pourrait réorienter les consommateurs vers des véhicules neufs européens.

Cette évolution offre de nouvelles opportunités pour le marché de l’occasion, notamment avec une demande accrue pour des véhicules plus abordables. Les professionnels devront s’adapter à ces changements pour tirer parti de ce contexte favorable.

Courses en Espagne : une bonne affaire ou pas ?

Courses en Espagne : une bonne affaire ou pas ?

De plus en plus de Français traversent la frontière pour faire leurs courses en Espagne, attirés par des prix nettement inférieurs à ceux pratiqués en France. Malgré la fin de certaines mesures fiscales avantageuses, les économies réalisées restent substantielles, notamment sur des produits de première nécessité.

Mais ces voyages en valent-ils vraiment la peine ? Quels sont les impacts de l’inflation et des coûts de transport sur ces économies ? Découvrez comment ces facteurs influencent les décisions des consommateurs français et si cette tendance est appelée à perdurer.

Courses en Espagne : une tendance en plein essor

De plus en plus de Français traversent la frontière pour faire leurs courses en Espagne, attirés par des prix nettement inférieurs. Les économies réalisées peuvent atteindre plusieurs centaines d’euros, notamment sur des produits de première nécessité. Par exemple, 6 kg de viande coûtent environ 34 euros en Espagne, soit une réduction de 40 % par rapport à la France.

Pour faciliter ces achats transfrontaliers, des bus partent régulièrement de Marseille, offrant un aller-retour à seulement 39 euros. Ce service permet aux consommateurs de profiter pleinement des tarifs avantageux espagnols sans se ruiner en frais de transport.

Des économies substantielles malgré la fin de la TVA réduite

Malgré la fin de la TVA réduite en Espagne, les prix restent attractifs pour les consommateurs français. Par exemple, le pain de mie coûte 1,59 euro en Espagne contre 2,20 euros en France, permettant ainsi des économies significatives. Cette différence de prix incite de nombreux Français à continuer leurs achats transfrontaliers.

Cependant, la fin des mesures anti-inflation a entraîné une légère hausse des prix sur certains produits de base comme l’huile d’olive, qui a augmenté de 25 centimes par litre. Néanmoins, ces ajustements n’ont pas suffi à dissuader les acheteurs français.

Adaptation des habitudes de consommation face à l’inflation

En 2025, bien que l’inflation en France soit prévue à 1,8 %, les ménages pourraient ne pas ressentir immédiatement une baisse des prix alimentaires. Les coûts de production et de transport, ainsi que la politique de marge des distributeurs, freinent la diminution des prix des produits de première nécessité.

Face à cette situation, les Français devront peut-être ajuster leurs habitudes de consommation. Opter pour des marques distributeurs, acheter en gros ou privilégier les promotions pourrait devenir essentiel pour alléger le budget alimentaire. Ces stratégies permettront de mieux gérer les dépenses malgré un contexte économique incertain.

Pourquoi les Français adoptent-ils le bio en 2023 ?

Pourquoi les Français adoptent-ils le bio en 2023 ?

En 2023, la consommation de produits biologiques en France connaît un recul notable, passant de 60 % à 54 % pour ceux qui consomment au moins une fois par mois. Ce phénomène s’explique par un changement de priorités alimentaires, où l’alimentation plaisir prend le pas sur les préoccupations de santé et d’environnement. Les prix élevés, les doutes sur l’origine des produits et l’accès limité sont autant de facteurs qui freinent cette consommation.

Mais alors, pourquoi certains Français continuent-ils d’adopter le bio malgré ces obstacles ? Quels sont les profils des consommateurs qui persistent dans cette démarche ? Découvrez les raisons cachées derrière ce choix et les tendances émergentes qui façonnent le marché du bio en France !

La consommation bio en baisse : un phénomène inattendu

En 2023, la consommation de produits biologiques en France a chuté, passant de 60 % à 54 % pour ceux qui en consomment au moins une fois par mois. Cette baisse s’explique principalement par le prix élevé des produits bio, qui reste un frein majeur pour de nombreux consommateurs. En outre, des doutes persistent quant à l’origine véritablement biologique de ces produits, ce qui alimente la méfiance.

Par ailleurs, l’accès difficile aux produits bio dans certains points de vente complique leur adoption. Enfin, les perceptions alimentaires évoluent, avec un recul du lien entre bonne alimentation et santé, au profit d’une alimentation axée sur le plaisir.

Les nouvelles priorités alimentaires des Français

La tendance vers une « alimentation plaisir » se renforce, reléguant au second plan les préoccupations de santé et d’environnement. Cette évolution influence directement la consommation de produits bio, souvent perçus comme trop coûteux. En effet, 75 % des Français jugent leurs prix excessifs, tandis que 64 % estiment que le label bio justifie ces tarifs élevés.

Cette perception du coût, combinée à une méfiance croissante envers l’authenticité des produits bio, freine leur adoption. Les consommateurs privilégient désormais des choix alimentaires qui procurent satisfaction et plaisir, même si cela signifie s’éloigner des options biologiques.

Un profil de consommateur bio bien défini

Les consommateurs réguliers de produits bio en France se distinguent souvent par leur niveau de revenu et d’éducation. En effet, 42 % des ménages gagnant plus de 2 500 euros par mois consomment des produits bio au moins une fois par semaine, contre seulement 23 % de ceux avec un revenu inférieur à 1 000 euros. Cette différence souligne que le bio reste un luxe pour les plus aisés.

Par ailleurs, la sensibilité environnementale et les préoccupations de santé influencent fortement ces choix. Les personnes diplômées et soucieuses de l’impact écologique sont plus enclines à intégrer le bio dans leur alimentation quotidienne.

Impôt local : découvrez la nouvelle contribution citoyenne !

Impôt local : découvrez la nouvelle contribution citoyenne !

La suppression de la taxe d’habitation sur les résidences principales, effective depuis le 1er janvier 2023, a bouleversé le paysage fiscal local. Pour compenser cette perte de recettes, une nouvelle contribution citoyenne est envisagée, visant à responsabiliser les citoyens tout en soutenant les services publics locaux.

Comment cette contribution sera-t-elle mise en place ? Quels impacts pour les ménages et les collectivités ? Découvrez les enjeux et perspectives de cette réforme fiscale audacieuse !

Suppression de la taxe d’habitation : un tournant fiscal majeur

La suppression de la taxe d’habitation sur les résidences principales, effective depuis le 1er janvier 2023, marque un changement significatif dans le paysage fiscal français. Ce processus a débuté en 2018 avec une réduction progressive pour 80 % des foyers fiscaux les moins aisés, atteignant 100 % en 2020. Les 20 % restants ont bénéficié de réductions similaires entre 2021 et 2023. Cependant, cette taxe demeure applicable aux résidences secondaires.

Cette suppression a un impact financier notable sur les recettes des communes, qui s’appuyaient sur cet impôt pour financer divers services publics locaux tels que les infrastructures scolaires, culturelles et sportives.

Vers une contribution citoyenne au service public

Pour compenser la perte de recettes due à la suppression de la taxe d’habitation, les communes ont augmenté la taxe foncière de près de 20 % entre 2018 et 2023. Face aux critiques des élus locaux, le gouvernement propose une nouvelle contribution citoyenne au service public, soutenue par l’Association des maires de France (AMF). Cette contribution serait ajustée en fonction des revenus des foyers, permettant ainsi à chacun de participer selon ses moyens. L’idée est de responsabiliser les citoyens sur le coût des services publics locaux tout en évitant de peser excessivement sur la fiscalité.

Une nouvelle contribution citoyenne : quels enjeux !

La mise en place d’une nouvelle contribution citoyenne soulève plusieurs enjeux cruciaux. Une concertation avec les élus locaux est prévue début 2025 pour définir les modalités de cette contribution et explorer d’autres leviers financiers pour les collectivités. L’exécutif souhaite éviter une augmentation du taux des prélèvements obligatoires, mais la stabilité fiscale pour tous les ménages n’est pas garantie.

Par ailleurs, la révision des valeurs locatives pourrait engendrer des inégalités, affectant différemment les propriétaires de logements anciens et récents. Cette situation nécessite une approche équilibrée pour assurer une équité fiscale tout en répondant aux besoins des collectivités.

Revenus 2025 : êtes-vous imposable ? Découvrez les seuils !

Revenus 2025 : êtes-vous imposable ? Découvrez les seuils !

Dans un contexte économique en constante évolution, la loi de Finances pour 2025 apporte des changements significatifs au barème de l’impôt sur le revenu en France. Avec une revalorisation de 2 % indexée sur l’inflation, cette mesure vise à protéger le pouvoir d’achat des Français tout en modifiant les seuils d’imposition.

Quels seront les impacts concrets sur votre situation fiscale ? Comment ces ajustements influenceront-ils votre budget familial ? Plongez dans notre analyse détaillée pour découvrir si vous serez imposable en 2025 et comment optimiser votre fiscalité !

Revalorisation du barème : une protection pour le pouvoir d’achat

La revalorisation de 2 % du barème de l’impôt sur le revenu en 2025, indexée sur l’inflation, vise à préserver le pouvoir d’achat des Français. Cette mesure permettra à environ 530 000 foyers d’échapper à l’imposition, soulageant ainsi leur budget.

Cependant, cette initiative représente un coût estimé à 3,7 milliards d’euros pour l’État. Malgré cet impact budgétaire, l’ajustement fiscal est conçu pour atténuer les effets de l’inflation, offrant un soutien financier crucial aux ménages concernés.

Impact de la revalorisation sur les contribuables

La révision des seuils d’imposition pour 2025, avec un taux de 0 % jusqu’à 11 520 euros, vise à alléger la charge fiscale des ménages. Environ 530 000 foyers bénéficieront de cette mesure, échappant ainsi à l’impôt et allégeant leur budget. Cette initiative est particulièrement bénéfique pour les contribuables des départements d’Outre-mer, où les seuils de prélèvement à 0 % seront relevés.

Cependant, le coût de cette revalorisation est estimé à 3,7 milliards d’euros pour l’État. Malgré cet impact budgétaire, l’ajustement fiscal est conçu pour atténuer les effets de l’inflation, offrant un soutien financier crucial aux ménages concernés.

Avantages fiscaux pour les ménages avec enfants à charge

Les contribuables rattachés à une personne mariée ou ayant des enfants à charge bénéficieront d’un abattement fiscal revalorisé, passant de 6674 euros à 6807 euros. Cette augmentation vise à alléger la pression fiscale sur ces foyers, leur permettant de mieux gérer leurs finances face à l’inflation.

Par ailleurs, les ménages aisés profiteront davantage de cette revalorisation, car une part plus importante de leurs revenus sera soumise aux tranches inférieures du barème. Pour estimer précisément leur impôt en 2025, il est conseillé d’utiliser le simulateur en ligne disponible sur impots.gouv.fr.

Alerte : votre épargne retraite est-elle menacée ?

Alerte : votre épargne retraite est-elle menacée ?

Le Plan d’Épargne Retraite (PER), introduit par la loi PACTE en 2019, a transformé le paysage de l’épargne retraite en France. Avec ses avantages fiscaux attractifs et sa flexibilité, il a séduit de nombreux épargnants. Cependant, un rapport récent de la Cour des comptes soulève des questions sur la pérennité de ces avantages.

Votre épargne retraite est-elle vraiment à l’abri ? Quelles pourraient être les conséquences d’une réduction des avantages fiscaux du PER ? Découvrez les alternatives possibles et les enjeux qui se dessinent pour votre avenir financier dans cet article captivant !

Le plan d’épargne retraite : un succès menacé ?

Depuis son lancement en 2019 grâce à la loi PACTE, le Plan d’Épargne Retraite (PER) a connu une popularité croissante. Il se décline en trois versions : le PER individuel (PERIN), le PER collectif (PERECO) et le PER obligatoire (PERO). Ce dispositif séduit notamment par ses avantages fiscaux, permettant aux épargnants de déduire leurs versements de leur revenu imposable.

Cependant, un rapport récent de la Cour des comptes met en lumière un manque à gagner pour l’État, estimé à 1,8 milliard d’euros en 2022, remettant en question la pérennité de ces avantages fiscaux.

Des propositions pour réduire le coût fiscal

Face au coût élevé des avantages fiscaux du PER, la Cour des comptes propose de revoir les plafonds annuels de déduction. Une première option serait de diminuer ces plafonds, par exemple en les limitant à moins de 10 % des revenus nets annuels. Une autre solution envisagée est d’ajuster ces plafonds chaque année, empêchant ainsi l’accumulation des déductions non utilisées sur trois ans.

Des critiques face aux réformes envisagées

Ces propositions suscitent des inquiétudes parmi certains acteurs du secteur, qui craignent qu’une réduction des avantages fiscaux ne freine l’essor du PER. Ils estiment que toucher à ce dispositif pourrait compromettre son succès croissant et décourager les épargnants potentiels.

Quelles alternatives au PER ?

Face à la possible réduction des avantages fiscaux du PER, l’assurance vie se présente comme une option attrayante pour les épargnants. Elle offre une grande souplesse avec des versements libres et la possibilité de retirer des fonds en cas de besoin. De plus, elle propose des garanties complémentaires en cas de décès ou d’invalidité, tout en permettant un accès diversifié aux marchés financiers.

Le Plan d’Épargne en Actions (PEA) et les Sociétés Civiles de Placement Immobilier (SCPI) constituent également des alternatives intéressantes. Le PEA offre un avantage fiscal après cinq ans, bien que limité par des plafonds de montant et de support. Les SCPI, quant à elles, permettent une diversification de l’épargne grâce à l’investissement dans l’immobilier, offrant ainsi une source potentielle de revenus réguliers.

Faut-il dire adieu aux pièces rouges ? Découvrez pourquoi !

Faut-il dire adieu aux pièces rouges ? Découvrez pourquoi !

Dans un contexte où le coût de fabrication des pièces de 1 et 2 centimes dépasse leur valeur faciale, la question de leur suppression se pose avec insistance. Alors que l’opinion publique semble pencher en faveur de cette disparition, les implications économiques et pratiques suscitent un débat animé.

Quelles seraient les conséquences d’une telle décision ? Comment se débarrasser efficacement de ces pièces rouges ? Plongez dans cet article pour découvrir les enjeux cachés derrière cette question monétaire brûlante !

Le coût de fabrication dépasse la valeur des pièces

Le coût de production des pièces de 1 et 2 centimes excède leur valeur nominale, ce qui soulève des questions économiques sur leur utilité. Les États dépensent plus pour les fabriquer qu’elles ne valent, ce qui pousse à envisager leur suppression pour réduire les dépenses publiques. Cette mesure pourrait alléger le fardeau financier des gouvernements.

Cependant, l’argument du coût est nuancé par la longévité des pièces, qui circulent pendant environ dix ans. Leur usage prolongé relativise le coût initial, car elles sont échangées de nombreuses fois avant d’être retirées de la circulation.

Une opinion publique favorable à la suppression

L’opinion publique semble prête à dire adieu aux pièces de 1 et 2 centimes. En effet, 72 % des Européens et 51 % des Français soutiennent leur disparition. L’essor du paiement sans contact renforce cette tendance, rendant ces pièces moins nécessaires dans les transactions quotidiennes. De plus, plusieurs pays européens, comme les Pays-Bas, l’Irlande et la Finlande, ont déjà cessé leur mise en circulation. Cette dynamique pourrait influencer d’autres nations, dont la France, à suivre le mouvement, bien que la décision finale dépende encore de la Commission européenne.

Risques d’inflation : une inquiétude justifiée

Certains experts redoutent que la suppression des pièces de 1 et 2 centimes entraîne une légère hausse des prix des produits de consommation courante. Cette augmentation pourrait affecter le pouvoir d’achat des ménages, car les commerçants pourraient arrondir les prix à la hausse en l’absence de ces petites dénominations.

Pour se débarrasser des pièces existantes, plusieurs solutions sont proposées. Les consommateurs peuvent utiliser des bornes d’échange dans les supermarchés, déposer leurs pièces à la banque, ou encore les utiliser pour des paiements en commerce. D’autres options incluent les dons à des associations ou la vente à des collectionneurs.

Comment booster votre budget mensuel dès maintenant ?

Comment booster votre budget mensuel dès maintenant ?

Dans un contexte où près de 60 % des Français expriment leur insatisfaction financière, il est crucial de trouver des moyens efficaces pour améliorer son budget mensuel. L’argent joue un rôle central dans le bien-être, et nombreux sont ceux qui ressentent du stress lié à leur situation économique.

Comment établir un budget efficace ? Quelles stratégies adopter pour diversifier ses revenus ? Découvrez des astuces pratiques et des conseils avisés pour booster votre budget dès maintenant et retrouver une sérénité financière !

Améliorez votre bien-être financier dès aujourd’hui

L’argent joue un rôle crucial dans le bien-être personnel, comme le confirment 75 % des personnes interrogées. Pour elles, le bien-être financier signifie pouvoir subvenir aux besoins fondamentaux, éviter les soucis financiers et satisfaire des désirs secondaires. Ces éléments sont essentiels pour améliorer le bien-être global.

Comprendre et gérer ces aspects peut transformer la perception de sa situation financière. En se concentrant sur la satisfaction des besoins primaires et secondaires, on peut réduire le stress lié à l’argent et ainsi améliorer son bien-être général.

Des stratégies concrètes pour réduire le stress financier

Pour diminuer le stress lié à l’argent, il est crucial d’établir un budget clair et de s’y tenir. Cela implique de distinguer les dépenses essentielles des dépenses secondaires, permettant ainsi d’optimiser son épargne. Utiliser des applications de gestion financière peut simplifier ce processus et offrir une vue d’ensemble sur ses finances.

En parallèle, la création d’un fonds d’urgence est indispensable pour faire face aux imprévus sans s’endetter. Idéalement, ce fonds devrait couvrir 3 à 6 mois de dépenses essentielles. Programmer des virements automatiques vers un compte épargne dédié facilite cette démarche et renforce la sécurité financière.

Diversifiez vos revenus pour un avenir serein

Diversifier ses sources de revenus est essentiel pour combler le manque mensuel de 897 euros ressenti par de nombreux Français, notamment les 55-64 ans et les familles avec enfants. En explorant des opportunités comme l’investissement immobilier ou les revenus passifs, on peut améliorer sa situation financière et réduire le stress lié à l’argent.

Pour optimiser la gestion de ses finances, il est conseillé d’automatiser ses transactions et de consulter un conseiller financier. Ce dernier peut aider à élaborer une stratégie personnalisée, garantissant ainsi une stabilité financière à long terme et un bien-être accru.

Pourquoi le prix du beurre va-t-il flamber bientôt ?

Pourquoi le prix du beurre va-t-il flamber bientôt ?

Le prix du beurre connaît une flambée spectaculaire, atteignant des sommets inédits sur les marchés européens. Cette hausse vertigineuse est principalement attribuée à une épidémie de fièvre catarrhale ovine qui ravage les élevages et réduit drastiquement la production de lait, matière première essentielle pour le beurre.

Quelles sont les conséquences de cette crise sur le marché mondial ? Quelles stratégies les entreprises adopteront-elles pour faire face à cette situation ? Découvrez les enjeux et perspectives de cette problématique complexe dans notre analyse approfondie.

Flambée des prix du beurre : une réalité inévitable

En septembre 2024, le prix du beurre en Europe a atteint environ 8 200 euros la tonne, marquant une augmentation de 92 % par rapport à l’année précédente. Cette hausse spectaculaire est principalement due à une épidémie de fièvre catarrhale ovine qui affecte la production de lait, essentielle à la fabrication du beurre.

Comparativement, les prix du beurre sont plus élevés en Europe qu’aux États-Unis et en Océanie, où ils restent inférieurs d’environ 20 à 25 %. Cette disparité mondiale accentue la pression sur les consommateurs européens.

Impact de la fièvre catarrhale ovine sur la production laitière

La fièvre catarrhale ovine (FCO), transmise par des moucherons, provoque des symptômes graves chez les ruminants, tels que la fièvre et l’avortement, réduisant ainsi la production de lait. En France, 4 644 foyers ont été identifiés dans 26 départements depuis août 2024, aggravant la situation. Cette épidémie touche également d’autres pays européens, entraînant une baisse généralisée de la production laitière.

Cette diminution de lait impacte directement la fabrication du beurre, augmentant sa rareté et son prix. Les consommateurs ressentent cette pression, car la demande mondiale de beurre reste forte, exacerbant la tension sur les prix.

Stratégies pour contenir la hausse des prix

Face à la flambée des prix du beurre, le secteur agroalimentaire explore des solutions pour limiter l’impact sur les consommateurs. L’importation de beurre de pays non européens, comme la Nouvelle-Zélande, est envisagée pour compenser la baisse de production en Europe. Cette stratégie permettrait de profiter de prix plus compétitifs à l’international.

En parallèle, des entreprises telles que Lactalis ont décidé de réduire leur collecte de lait en France. De plus, les contrats de prix fixés en janvier 2024 seront renégociés début 2025, offrant une opportunité de stabiliser les prix en magasin malgré la pression actuelle.

Découvrez le leasing social 2025 : voitures à 100€/mois !

Découvrez le leasing social 2025 : voitures à 100€/mois !

Le leasing social pour les voitures électriques revient en 2025, après un lancement triomphal en 2024. Ce dispositif, initié par le ministre délégué aux Transports François Durovray, vise à rendre l’électromobilité accessible aux ménages modestes avec des offres attractives à partir de 100 euros par mois.

Quels seront les nouveaux critères d’éligibilité ? Comment ce dispositif influencera-t-il le marché automobile ? Découvrez tous les détails et les avantages potentiels de cette initiative révolutionnaire dans la suite de cet article !

Le renouvellement du leasing social en 2025 : un nouveau départ

En 2025, le programme de leasing social pour les voitures électriques fera son retour, comme l’a annoncé François Durovray, ministre délégué aux Transports. Ce dispositif, initialement introduit en 2024, avait connu un succès retentissant, mais a été suspendu rapidement face à une demande bien supérieure aux prévisions.

Ce retour vise à satisfaire l’intérêt croissant des consommateurs pour des solutions de mobilité durable et abordable. Le gouvernement prévoit d’ajuster les ressources pour mieux gérer l’afflux de demandes et répondre aux attentes des ménages modestes.

Conditions d’éligibilité pour le leasing social en 2024

Pour bénéficier du leasing social en 2024, plusieurs critères doivent être remplis. Les candidats doivent être majeurs et résider en France. Leur revenu fiscal de référence par part ne doit pas dépasser 15 400 euros. De plus, ils doivent habiter à plus de 15 km de leur lieu de travail et utiliser leur véhicule personnel pour s’y rendre, avec un kilométrage annuel professionnel supérieur à 8 000 km.

En 2025, avec un budget réduit, ces critères pourraient se durcir, limitant l’accès aux ménages les plus modestes pour mieux cibler les bénéficiaires prioritaires.

Les véhicules éligibles et les coûts supplémentaires

Le leasing social rend accessibles des modèles comme la Renault Twingo e-Tech, la Citroën ë-C4 ou la Peugeot e2008. Ces véhicules, choisis pour leur faible impact environnemental, sont principalement fabriqués en Europe. Cependant, au-delà du loyer mensuel attractif de 100 euros, les bénéficiaires doivent prévoir des frais additionnels tels que l’assurance, l’entretien et la recharge électrique.

Ces coûts peuvent faire grimper le budget mensuel à 192 euros pour certains modèles. Malgré cela, le leasing social offre l’avantage de conduire un véhicule neuf, réduisant ainsi les imprévus budgétaires et contribuant à la transition écologique.